Brésil – Rio de Janeiro, 1ères impressions !

Retour sur 2 semaines et demi au Brésil, voyage en partie en famille, en partie à deux avec Clément autour de Rio et de São Paulo. Pour lire le début de l’aventure, c’est ici.

Après nos belles aventures sur l’île d’Ilha Grande, nous avons rejoins le continent et repris notre route pour rejoindre Rio de Janeiro en famille. La transition peut sembler rude entre cette petite île sauvage et peu habitée et la seconde plus importante ville du Brésil ! Mais le lent trajet en bus (environ 8h pour rejoindre Rio depuis Angra do Reis) qui nous fait traverser, somnolant, la « campagne » brésilienne, des montagnes, des champs, des petites baraques, nous a permis de laisser tranquillement le flot de nos pensées voguer de ces plages uniquement occupées par quelques cocotiers à l’envie de découvrir de nouvelles choses et surtout les merveilles d’une ville telle que Rio.

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Il m’est impossible de prétendre pouvoir faire une présentation de Rio et des « 10 incontournables » de cette ville (je n’aime pas du tout le terme « d’incontournables » d’ailleurs, il faudra que j’en dise un mot ou deux !) car en 4 jours, nous n’avons pu découvrir que certaines de ses richesses et commencer à comprendre son atmosphère, son ambiance. Je reste persuadée que ce genre de ville, composée d’une infinité de quartier au style différent, doit se vivre au quotidien pour commencer à cerner toutes ses facettes. A la place, je vous propose le récit de nos aventures ici, de nos découvertes et sensations dans cet endroit mi-sauvage mi-ville.

Et le tout en 2 parties, histoire que vous puissez lire cet article sans y passer la nuit !

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◊ Un cadre exceptionnel

Eh oui, car l’impression que m’a laissé cette ville est que la qualifier de « ville » ne lui correspond pas du tout ! Rio se trouve en effet dans un milieu naturel tellement exceptionnel qu’on ne peut pas parler d’elle comme on le ferait de Paris ou de Londres, des villes avec des parcs, mais où la nature est maîtrisée et choisie. J’ai plutôt eu l’impression qu’à Rio, ce sont des morceaux de villes qui se calent tant qu’ils peuvent entre les immenses plages, les Morros (ces grands dômes rocheux tel que le Pain de Sucre) et les collines verdoyantes. Comme si c’était la nature qui acceptait de bien vouloir laisser un bout de ville se mettre à cet endroit-là.

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Pour situer les quartiers décrits tout au long de cet article, voici un petit descriptif de Rio :

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(Quartiers de Rio – Source : http://www.mackoo.com/bresil/rio.htm)

Pour faire simple et s’y retrouver :

La côte sud de Rio est divisée en 3 quartiers en référence à leur plage : Leblon, Ipanema, Copacabana. Ces quartiers se ressemblent un peu : une magnifique plage, des rues résidentielles autour, une ambiance festive et animée en journée mais plus calme le soir. Mais on y trouve tout de même des atmosphères différentes : Copacabana est plus « touristique », Ipanema et Leblon sont plus calmes mais aussi plus bourgeois.

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Au niveau de Urca, on trouve le plus célèbre des Morro, le Pain de Sucre (et son téléphérique qui permet d’atteindre son sommet) mais également, à son pied et devant la baie de Guanabara, le quartier de Urca est résidentiel et plutôt huppé (où quelques stars ont leur appartement). Il s’anime le soir et devient un endroit couru des Cariocas pour faire la fête en buvant une bière le long de la baie.

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La baie de Guanabara vue depuis Urca

Au nord, on trouve Flamengo et Gloria, très résidentiels, que nous n’avons pas eu le temps de beaucoup connaître. Puis vient Lapa, le quartier festif par excellence. Le Centro est à la fois un quartier très moderne (nombreuses tours de bureau) mais qui garde tout de même de vieux bâtiments coloniaux magnifiques. Il est animé en journée, pendant les heures de travail mais est à éviter absolument la nuit. Et enfin, Santa Tereza, sorte de Montmartre brésilien : un petit quartier sur une colline, hyper mignon et coloré, rempli d’artistes.

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Le Centro

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La colline de Santa Tereza

C’est une description rapide, que les connaisseurs de Rio ne me jettent pas de baobabs !

◊ Notre arrivée à Rio

Nous sommes arrivés à Rio en soirée à la gare routière située un peu au nord de la ville et nous avons rejoins directement en bus notre auberge de jeunesse située à Copacabana (oui, c’est plutôt classe de se dire ça!).

Nous avons logé chez Laguarto Hostel Copacabana (C’est une chaîne d’auberges apparemment, il y en a un peu partout dans Rio) et pour les voyageurs en quête de rencontres et de fêtes, je la recommande vivement ! Autant les chambres ne sont pas fantastiques, autant l’ambiance y est très sympa et conviviale. L’hôtel dispose d’un bar (uniquement pour ses clients) qui sert des caïpirinhas à différents fruits (fraises, mangue, ) à un prix tout petit ! (Et la première est offerte…).

L’hôtel est doté d’un rooftop (avec petite piscine et barbecue) et d’une terrasse au rez-de-chaussée. Nous n’avions pas vraiment de plan pour cette première soirée et comme nous ne connaissions pas la ville et ne savions pas quelles rues ou quel quartier étaient les plus animées, accessibles, les moins dangereuses aussi (la ville prend une toute autre dimension la nuit, mais j’en parlerais dans un prochain article), nous nous sommes laissés emporter par l’ambiance festive de notre hôtel. Nous nous sommes installés à une table avec un verre et avons laissé les choses se faire. Quelques caïpirinhas plus tard, nous avions rencontré un Brésilien et un Belge qui nous ont proposé des sorties  avec le petit groupe constitué à l’auberge tout au long du week-end. Vraiment très sympa !

◊ Rio… et ses immenses plages !

Le lendemain, nous n’avons pas pu résister à l’envie d’enfin découvrir les plages de Rio, et notamment celle de Copacabana à 500m de notre hôtel (on ne s’en était pas forcément rendu compte la veille…on s’est sentit un peu bête lorsque l’on a découvert ça, d’ailleurs !).

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(Les connaisseurs reconnaîtront qu’il s’agit plutôt de la plage d’Ipanema sur ces photos, mais je n’ai pas retrouvé de photos potables de Copacabana… et puis, ça se ressemble tout de même ! 😉 )

Et comme nous avions la chance d’être en hiver pour le Brésil, la plage était quasiment vide ce qui nous a permis de prendre le temps de s’y promener et d’admirer son immense étendue de presque 5km de sable blanc. C’était assez incroyable de se retrouver sur cette plage mythique, tant de fois vu dans des films, des photos… j’avais du mal à croire que je me trouvais ici ! Cela me fait toujours un drôle d’effet lorsque l’on visite un endroit que l’on a tant imaginé et qui paraît si grand, si exotique, si lointain…

Est-ce que cela vous arrive de ressentir la même chose ?

Nous avons remonté Copacabana en direction de Ipanema et empruntant les célèbres trottoirs recouverts de mosaïques aux motifs différents selon le quartier. Nous avons croisé quelques installations pour les JO qui allaient se dérouler quelques semaines plus tard, des petites cabanes en bord de plage qui proposent cocktails et noix de coco à toute heure, des vendeurs de maillots de bain équipés de parapluie (pour les essayer, cachés en dessous), beaucoup beaucoup de coureurs, des vendeurs à la sauvette de lunettes, sacs, bijoux et quelques vagues. Une grande avenue bordée de hauts immeubles bordent la plage et voit défiler une horde de taxis. Le dimanche, la circulation y est interdite pour permettre aux piétons de reprendre possession de cet espace.

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Un petit promontoire rocheux surmonté d’un fort militaire (visitable) sépare Copacabana de sa voisine Ipanema, plus calme, plus petite où quelques surfeurs tentent de dompter les vagues. A partir de là, nous avons remonté les quelques rues alentours, moins denses que du côté de Copacabana où l’on trouve petites boutiques, places et marchés. Nous avons alors délaissé ce morceau de Rio et pris un taxi pour filer vers le jardin botanique à l’ouest de Rio.

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◊ Le jardin botanique de Rio

Pourquoi commencer par cela me direz-vous ? Eh bien parce que le temps était aux nuages et qu’il n’était pas possible de profiter des vues de Rio que nous gardions, du coup, pour un peu plus tard… et puis, parce qu’imaginez un peu un jardin botanique fait de plantes exotiques à l’air libre (pas besoin de serres pour leur survie!) des tas de cactus, de palmiers gigantesques, de forêts de bambous… vraiment, c’était magnifique et envoûtant !

◊ Direction le Pain de Sucre !

Le début d’après-midi commençait déjà à être bien entamé et surtout, les nuages semblaient s’être dissipés un peu ! Nous n’avons pas perdu de temps, incertains quant à la qualité de la météo des prochains jours, et nous avons filé au Pain de Sucre (Pão de Açucar), dans l’espoir d’atteindre son sommet. Pour rejoindre le Pain de Sucre, il faut tout d’abord rejoindre le sommet du Morros juste à côté, le Morro da Urca, à pied par un petit chemin dans la forêt (compter une trentaine de minute) ou directement par téléphérique. Un autre téléphérique conduit ensuite sur le sommet du Pain de Sucre. L’autre option, et non des moindres, est l’escalade !

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Le téléphérique qui mène au Morro da Urca

Pour notre part, nous avons choisis de démarrer par la petite grimpette qui rejoint le Morro da Urca. On s’enfonce dans la forêt sur un chemin plutôt simple (avec des escaliers), mais surtout, on découvre plusieurs points de vue sur la baie de Guanabara et on rencontre des tas de petits singes noires avec des favoris blancs !

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Vue de Niteroï lors de la montée sur le Morro da Urca

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Hello you !

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Au sommet de ce premier Morro, on profite déjà d’une superbe vue sur certains quartiers de Rio : Botafogo, Flamingo, Niteroï… malheureusement, le Pain de Sucre demeurait perdu dans la brume et c’est avec une pointe de regret que nous avons fait demi-tour.

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Je jure que le Pain de Sucre se trouve là-dessous ! Si, si !

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Vue sur la baie de Guanabara depuis le Morro da Urca

Mais nous nous sommes bien vite consolés en visitant le quartier de Urca dans la foulée et en décidant d’y passer la soirée.

◊ Une soirée tranquille à la brésilienne

Comme beaucoup de brésiliens le font, nous avons attrappé quelques bières et nous nous sommes posés sur le petit muret (juste en face de l’épicerie) le long de la baie pour déguster nos bières et regarder le soleil se coucher sur le Christ Rédempteur que nous voyons émerger du brouillard pour la première fois. Nous avons également fait quelques rencontres très sympa de brésiliens toujours aussi amicaux et accueillants.

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Le fameux muret spécial apéro

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On discerne le Christ Redempteur au loin !

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◊ 2ème jour : à la rencontre des favelas

Pour ce deuxième jour à Rio, nous avions prévu de partir à l’assaut d’un des deux morros des Dos Irmaoes. Ces deux morros se trouvent tout à l’ouest de Rio, au niveau de la favela Vidigal, tout au bout du quartier de Leblon. Nous nous sommes rendu à pied jusqu’à Vidigal en longeant la plage, les Dos Irmaoes bien en vu devant nous. Vidigal est ce que l’on appelle une favela « pacifiée », c’est-à-dire qu’une unité de police y réside de façon permanente et que le territoire n’est plus tenu par des trafiquants. Ainsi, désormais, il s’agit d’un quartier qui reste très pauvre (peu de maisons en dur, accès limité à l’eau, l’électricité, les égouts,…) mais où la criminalité n’est plus aussi élevée que lorsque Vidigal se trouvait aux mains des trafiquants de drogue. Il est donc possible de traverser cette favela en pleine journée (en faisant preuve de prudence !).

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Au loin : les deux morros des Dos Iramoes (deux frères)

Nous avions tout de même pris la précaution de ne pas emporter nos appareils photos, car déjà, avec nos têtes de gringo (c’est-à-dire d’étranger) tout blanc, on se faisait bien repérer, alors autant éviter de trop se faire remarquer…

Arrivée au pied de la colline sur laquelle s’étale Vidigal, on rencontre une troupe de policiers qui surveillent l’entrée. Comme il nous fallait monter tout en haut de la colline et que nous ne savions pas encore très bien comment allait être l’ambiance dans la favela, nous avons choisi de monter directement à bord de motos (et d’un van pour moi qui n’était pas très rassurée par les motos !) conduits par des habitants de la favela. Je dois avouer que l’on sentait déjà bien l’évolution touristique de l’endroit !

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Nous avons ensuite trouvé le chemin qui permet l’ascension des Dos Irmaoes et avons commencé à monter ! Il y a plusieurs accès à ce chemin, et je dois dire que nous sommes passés par le moins « conventionnel » : un petit sentier, derrière la clôture d’une maison où rien n’indiquait que c’était là… je vous conseille donc de bien vous renseigner pour trouver ce chemin sans problème. La montée n’est ensuite pas très longue, environ 1h et n’est pas très difficile. En chemin, nous nous sommes arrêtés à un premier point de vue qui donnait sur l’autre côté des Dos Irmaoes et où nous suspendus au dessus de la favela Rocinha, la plus grosse favela de Rio (plus de 70 000 habitants). Celle-ci a également été pacifiée mais n’a pas su résisté aux retours des trafiquants qui ont fait de nouveau grimper la criminalité.

◊ Une favela vu d’en haut

L’observer de ce point de vue est absolument fascinant. Une marée de bâtiments colorés, de toutes les formes et les uns sur les autres recouvrent cette colline. Il est impossible d’arrêter son regard sur un point précis tant il y a de choses à voir, tant cette ville dans la ville semble être en perpétuel mouvement, là un scooter qui file à toute vitesse dans les rues tortureuses de la favela, ici un chien sur une terrasse qui tourne un rond, là une femme qui étend du linge sur un toit, des aboiements, des cris d’enfants, des claquements en tout genre, des oiseaux qui s’envolent effrayés par un bruit soudain… Je n’ai jamais eu autant l’impression d’un monde qui grouille de vie, d’action. Je me demande et essaye de m’imaginer comment cela doit être d’y vivre, que ressentent ses habitants, s’enferment-ils à double tour la nuit, qu’ont-ils pour vivre ? Les favelas sont un autre monde qui semble hors de tous les codes de notre société occidentale bien pensante.

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Ce n’est pas une vue de la favela Rocinha (puisque je n’avais pas mon appareil), mais d’un autre point de vue qui illustre ses petites maisons à l’assaut des collines…

Nous avons continué notre petite grimpette avant d’arriver sur une grande plate-forme rocheuse où quelques touristes étaient déjà parvenus avant nous. Et de là, la vue est à couper le souffle. Sous nos pieds s’étalent les immenses plages de Rio, toutes les unes après les autres, puis au loin, le Corcovado, le Pain de Sucre, et encore plus loin, on devine les quartier de Santa Thereza et le Centro… Je pense que c’est la plus belle vue que nous ayons eu de Rio au cours de ces quelques jours. Plus belle encore que celle du Corcovado que nous ferons quelques jours plus tard. Peut-être que le fait que nous ayons dû faire un effort pour monter si haut n’a rendu la surprise que plus belle !

Nous sommes restés ici un petit moment sans parler, à observer et ancrer ces images et ce moment dans notre mémoire.

Nous avons redescendu ensuite toute la favela à pied et sommes passés devant des bars, des restaurants, des boutiques de souvenirs… La vie semble normale dans ce quartier où les maisons en mauvais état sont décorées et peintes pour compenser leur aspect. Donc je pense qu’il est possible de se « promener » dans une favela pacifiée, pour découvrir de quoi cela à l’air, mais je dois dire que je reste toujours mal à l’aise avec ce genre de démarche « touristique » et je continue de penser qu’il vaut mieux éviter de braquer son appareil photo sur les maisons, les gens, comme cela nous dérangerait que ce soit fait devant notre propre maison, d’ailleurs ! Adopter une attitude discrète, humble pour éviter de déranger tout le monde par nos regards… Et je parle de mon expérience sur une après-midi dans une favela pacifiée, je ne prétends pas conseiller telle ou telle conduite et il faut toujours rester prudent !

Bref, après cette super aventure, nous avons piqué une tête dans la mer au niveau de Leblon où les vagues sont énooooooormes ! Puis nous nous sommes préparés à sortir dans le quartier de Lapa au nord de Rio de Janeiro.

◊ Une soirée festive à la Brésilienne !

Lapa est le quartier par excellence pour sortir à Rio. Constitué d’une rue principale et de quelques petites rues plus calmes autour, on y trouve une succession de bars, bars à samba, boîtes, restaurants et petits vendeurs ambulant de cocktails et de petits trucs à grignoter. L’ambiance y est très festive et ne s’arrête pas de toute la nuit ! Tout le monde y débarque en taxi habillé assez chic et se prends à la fête. Nous avons commencé par prendre un verre de caipirihna (le coktail brésilien par excellence à base de cachaça, un dérivé du rhum) à un vendeur ambulant avant de nous promener dans la rue pour choisir un bar. Autant vous mettre en garde toute suite : la caipirinha ne coûte rien mais tape très fort sur le crâne ! Les verres sont très chargés et ont vite fait de vous faire oublier où se trouve votre hôtel !

(De même, je n’avais pas mon appareil photo lors de cette soirée, je vous propose donc des photos prises à un autre moment, histoire de donner une idée de l’endroit !)

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Les célèbres arches de Lapa

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Nous avons finalement choisi un bar où un groupe jouait de la samba tandis que quelques couples dansaient, s’amusaient, discutaient. Par contre, je dois dire que la musique, que ce soit dans n’importe quel bar, est incroyablement forte ! Difficile de tenir une conversation pendant un concert !

Je ne saurais vous conseiller de bar, nous en avons choisis un au hasard et comme ils se trouvent tous dans la même rue, il suffit de jeter un œil par-ci par-là et d’en choisir un ! Nous sommes rentrés au petit matin en taxi après une belle soirée 🙂

Je vous raconterai la suite de nos aventures à Rio dans un prochain article ! En attendant, si vous voulez être au courant des dernières news/voyages/bêtises, n’hésitez pas à vous inscrire sur ma page Facebook !

Bonne route !

12 réponses sur “Brésil – Rio de Janeiro, 1ères impressions !”

  1. Tu me rappelles de tres bons souvenirs de Rio, mais aussi de Islha Grande ou j’avais ete 3 jours et du trajet en bus qui donne en effet envie de s’arreter pour profiter des endroits ruraux!

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  2. Ah Rio. Je rêve d’y aller… et d’y vivre au minimum un mois pour m’imprégner de cette culture! Merci pour cet article!

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  3. Ah Rio, j’en garde de très bons souvenirs. J’y ai passé 4 jours en 2015 et j’aimerai beaucoup y retourner car il y a plusieurs endroits où je n’ai pas eu le temps d’aller. Quelle est la ville au Brésil que tu as préféré ?

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    1. Effectivement, je pense que Rio mérite au moins une semaine voire plus ! Comme toi, je n’y ai passé que quelques jours et c’était bien trop peu ! Je n’ai visité que Sao Paulo, Rio, Paraty et Isla Grande lors de notre voyage au Brésil l’an dernier, mais je dois dire que j’ai particulièrement apprécié la beauté de Rio ! Le fait que l’on puisse se perdre dans la jungle au plein milieu de la ville et avoir une vue magnifique sur le littoral… et toi ? Qu’as tu vu pendant ton voyage ?

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  4. Brouillard ou Pollution. On lit divers avis à ce sujet. Lors des JO, c’était une des villes les plus polluée. Et aujourd’hui?

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    1. Nous n’avons pas souvenir d’avoir trop souffert de la pollution à Rio, pas plus qu’a Paris, mais les conditions étaient plutôt venteuse ce qui dissipait la chape de pollution. Néanmoins nous savons que c’est un problème récurrent des grandes villes, a Marrakech nous n’avons quasiment pas pu sortir de l’auberge car nous suffoquions, ce qui nous a poussé à rester à l’auberge et à rencontrer pleins de gens merveilleux.
      Nous nous tournons d’ailleurs de plus en plus vers la campagnes, la nature sauvages, les grand espaces et les petits villages dans nos voyages.

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